DES FINISSANTS DE KUMON EXPLIQUENT COMMENT CE PROGRAMME D’ÉDUCATION COMPLÉMENTAIRE LES A AIDÉS À RÉUSSIR - Student Resources

DES FINISSANTS DE KUMON EXPLIQUENT COMMENT CE PROGRAMME D’ÉDUCATION COMPLÉMENTAIRE LES A AIDÉS À RÉUSSIR

L’achèvement du programme Kumon ne fait pas que donner une longueur d’avance aux élèves sur le plan scolaire, il leur transmet également des compétences générales comme la persévérance et la détermination en plus de témoigner du rôle que peut jouer un programme d’éducation complémentaire dans leur réussite. Les finissants affirment qu’après avoir réussi le programme Kumon, ils avaient la confiance nécessaire pour affronter n’importe quelle situation.  

Il suffit de demander à l’instructrice Lipi Singh du centre Kumon de Coppell-East au Texas. Ancienne élève de Kumon, Mme Singh a terminé le programme de mathématiques de Kumon à l’âge de 17 ans.  

« J’ai ressenti un grand sentiment d’accomplissement. Cela m’a aidé en mathématiques, bien sûr, mais cela m’a aussi donné un regain de confiance, dit Mme Singh. Je dis tout le temps aux parents que Kumon aide à acquérir des compétences générales comme la concentration et la détermination. »  

Le programme personnalisé de Kumon permet aux élèves de travailler à leur propre rythme en maîtrisant chaque compétence avec des feuilles d’exercices qui les aident à mettre le concept en pratique avant de passer au suivant. L’achèvement du programme Kumon est un exploit impressionnant, car il renforce la confiance du finissant et se traduit par une amélioration de son rendement scolaire et du développement d’aptitudes utiles dans sa vie quotidienne. 

Bien qu’elle ne fasse pas la promotion de son statut de finissante, Mme Singh dit qu’elle puise dans son expérience personnelle pour motiver ses élèves qui approchent la ligne d’arrivée. Cependant, elle croit que pour rester avec Kumon assez longtemps pour terminer le programme, les élèves doivent vouloir le faire pour eux-mêmes. « Je pense que les élèves doivent être motivés. Beaucoup de parents pensent qu’ils peuvent pousser leurs enfants, mais ces derniers seront alors stressés ou commenceront à détester le programme. Les élèves ont besoin d’une motivation propre. » 

C’est vraisemblablement le cas de deux finissants que nous avons rencontrés cet été. Ces deux jeunes diplômés du secondaire attribuent leur succès à la motivation intrinsèque qui les a animés durant leurs années avec Kumon et à la confiance que cela leur a insufflée.  

Kiran Shay  

Kiran Shay est fasciné par l’ingénierie et la médecine – et la façon dont les deux convergeront à l’avenir.  

Kiran a commencé Kumon à l’âge de 4 ans et a terminé le programme d’anglais à l’âge de 10 ans et celui de mathématiques à l’âge de 11 ans. « J’étais très compétitif avec un de mes camarades d’école. Il a aussi fait Kumon et nous nous sommes motivés l’un l’autre. Il a aussi terminé le programme de mathématiques à 11 ans. »  

Cette rivalité amicale se poursuit encore aujourd’hui. Lorsque Kiran a obtenu son diplôme en tant que major de promotion de sa classe au printemps, son ami était le deuxième meilleur diplômé.  

Kiran, 18 ans, de Floride, fréquentera l’Université Johns Hopkins pour étudier le génie électrique avec un parcours prémédical. « La médecine est l’une de mes passions et c’est ce que je pense faire après mes études. Mais dans 20 à 30 ans, les liens entre technologie et médecine seront très avancés. À ce moment-là, les chirurgiens ne feront peut-être plus de chirurgie, mais travailleront sur des machines qui feront la chirurgie. »  

L’intérêt de Kiran pour la médecine et la technologie remonte à loin. À l’âge de 11 ans, lui et certains de ses amis se sont réunis pour concevoir et mettre au point une prothèse pour un autre garçon qui a perdu la main à un jeune âge. Ils ont utilisé une imprimante 3D pour la fabriquer.  

Étant donné que Kiran a terminé le programme Kumon très jeune, il a fallu des années avant qu’il ne retrouve à l’école secondaire certains des concepts étudiés avec Kumon. « Pour moi, les principales leçons à tirer de Kumon ne se limitaient pas aux compétences scolaires. Quand j’ai commencé à étudier certains types de calculs à l’école secondaire, je me suis dit : “J’ai déjà vu ça.” Et j’ai utilisé le raisonnement déductif pour apprendre de nouvelles choses plus rapidement aussi. Mais avec Kumon, on apprend aussi des aptitudes utiles dans la vie quotidienne comme la gestion du temps, et cela m’a donné l’assurance que je pouvais faire beaucoup plus que ce que je pensais pouvoir faire. »  

Christine Sinn 

Christine Sinn est enthousiaste à l’idée d’utiliser ce qu’elle a appris pour bâtir des collectivités et améliorer la vie des gens.  

Christine a commencé Kumon à l’âge de 3 ans et ne s’est arrêtée qu’à la fin du programme, finissant le programme d’anglais à l’âge de 10 ans et celui de mathématiques à l’âge de 12 ans.  

Elle dit que Kumon est devenue une habitude qu’elle n’a jamais envisagé d’abandonner. « C’était une activité normale dans ma journée. Je me suis rendu compte que le travail quotidien me permettait non seulement de progresser plus rapidement dans la salle de classe, mais aussi dans les autres aspects de ma vie », dit-elle.  

« À un moment donné, j’ai réalisé qu’il y avait énormément de choses à apprendre et à quel point je voulais apprendre. Parfois, ça pouvait être un peu épuisant. Par exemple, tu finis le niveau I et tu te rends compte (ah!) qu’il y a un niveau J!, avoue-t-elle en riant. Mais je regardais vers l’avenir et je me disais à quel point c’était palpitant de voir tout ce que je pouvais apprendre ensuite. »  

Aujourd’hui âgée de 18 ans, Christine a obtenu son diplôme d’études secondaires dans le nord de la Virginie et fréquentera le Massachusetts Institute of Technology pour étudier l’informatique, l’économie et la finance. Elle s’intéresse aux initiatives entrepreneuriales et aux jeunes pousses à vocation sociale, ainsi qu’à la façon de les financer et de les soutenir. 

Christine n’a pas attendu d’en apprendre davantage sur l’entrepreneuriat à l’université. Elle est fondatrice et cheffe de la direction de ScolioBend, une organisation axée sur le service créée pour et par les patients atteints de scoliose, et elle a conçu, programmé et écrit le contenu de l’application gratuite ScolioBend. Elle gère une équipe nationale de bénévoles et dirige une équipe qui mène des enquêtes de recherche sur les traitements et une équipe de sensibilisation qui travaille en partenariat avec des professionnels de la santé et des écoles pour sensibiliser la population à la scoliose.   

Christine affirme qu’avoir terminé le programme Kumon lui a inculqué l’autodiscipline et la persévérance. « C’était une grande réalisation parce que c’était le point culminant de nombreuses années de travail. J’ai appris que les choses les plus gratifiantes ne sont pas les plus faciles ou les plus rapides à réaliser. On ne peut pas suivre les programmes Kumon à toute vitesse. Avec le recul, j’ai aimé apprendre qu’il faut faire de petits pas pour apprendre quelque chose. »